Le ministre libanais des Affaires Étrangères remercie le Maroc
Le ministre libanais des AE remercie le Maroc pour ses efforts en faveur du peuple libyen
Le ministre des Affaires étrangères et des Expatriés du gouvernement intérimaire du Liban, Charbel Wehbé, a exprimé lundi ses « remerciements au Royaume du Maroc pour ses efforts visant à aider le peuple libyen à surmonter sa crise actuelle ».
Lors de sa rencontre avec l’Ambassadeur du Maroc au Liban, M’hamed Grin, Charbel Wehbé a loué les efforts du Maroc, dans l’espoir qu’ils puissent permettre au peuple libyen de surmonter ses divergences et d’assurer la sécurité et la stabilité dans le pays.
Dans ce sens, M’hamed Grin a informé le ministre libanais d’un deuxième rendez-vous du dialogue inter-libyen qui a réuni, du 02 au 06 octobre à Bouznika, les délégations du Haut Conseil d’État et de la Chambre des Représentants.
« Ces pourparlers ont été sanctionnés par des accords globaux sur les critères et les mécanismes pour occuper les postes de souveraineté, prévus par l’article 15 de l’Accord politique libyen de Skhirate », a-t-il affirmé en ajoutant que « plusieurs pays et diverses organisations internationales ont loué l’initiative du dialogue en faveur de la paix et de la stabilité en Libye portée par le Royaume du Maroc ».
Cette réunion a également été l’occasion pour les deux parties de discuter des relations bilatérales, de l’évolution de la situation aux niveaux régional et international et de l’action arabe commune.
Lors de ce deuxième round du dialogue inter-libyen, tenu à Bouznika, qui a réuni les délégations du Haut Conseil d’Etat et de la Chambre des représentants libyens, ont été discutés des « accords décisifs et globaux sur les critères et les mécanismes pour occuper les postes de souveraineté », prévus par l’article 15 de l’Accord politique libyen de Skhirat.
Les deux parties ont précisé que « les résultats du dialogue entre les deux délégations constituent un apport sur lequel il est possible de capitaliser, pour instaurer la stabilité dans le pays et mettre fin à la division institutionnelle ».