Le Maroc dans le Top 4 mondial de l’Indice de performance climatique
Le Maroc dans le Top 4 mondial de l’Indice de performance climatique
Le Maroc joue dans la cour des grands pays les plus propres en matière d’émission de gaz à effet de serre (GES) et de politique climatique. Il est classé au quatrième rang mondial selon l’indice de performance du changement climatique, après la Suède, le Royaume-Uni et le Danemark.
Fidèle à sa stratégie qui vise l’atteinte d’un mix énergétique où les énergies renouvelables (ENR) contribueront à hauteur de 52% à horizon 2030, le Maroc se lance dans l’utilisation de l’hydrogène comme source d’énergie propre.
Il envisage l’utilisation de la technologie basée sur l’électrolyse et qui utilise l’énergie propre (solaire et éolien) pour séparer les molécules d’eau en deux, oxygène et hydrogène et ce, sans émission de CO2.
C’est ainsi que que le gouvernement marocain, via le ministère de l’Energie, des mines et de l’Environnement (MEME), a signé un accord avec l’Agence internationale des énergies renouvelables (Irena).
Cet accord a pour objectif de renforcer la coopération pour développer les ENR et accélérer la transition énergétique. Un focus a été mis sur la mise en œuvre du programme “Power-to-Gaz”qui se base sur la technique de l’hydrogène vert.
Le Maroc ambitionne de devenir un acteur important dans ce domaine en tant que producteur et exportateur de cette énergie.
Francesco La Camera, directeur général de l’Irena, a déclaré à l’occasion de la signature de cet accord que «Le Royaume du Maroc a fait preuve d’un grand leadership en faisant progresser le déploiement des ENR pour répondre à la demande énergétique croissante tout en créant de nouvelles opportunités industrielles à travers le pays ».
Et d’ajouter « Il est naturel que ce leadership s’étende à la poursuite de l’hydrogène vert, qui peut jouer un rôle essentiel dans les ambitions mondiales de décarbonations ».
Aziz Rabbah, ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement, est revenu sur les engagements du Maroc: « Nous continuerons à promouvoir et à encourager l’adoption des ENR dans le contexte du changement climatique.
Mais aussi pour leur développement au niveau régional et international ». Se référant aux données de l’Irena à fin 2020, le Maroc dispose déjà d’une capacité installée d’énergie renouvelable totalisant 3.5 GW.
La contribution future de l’hydrogène vert devra contribuer à supplanter la production d’électricité à base de charbon.
Le Maroc joue dans la cour des grands pays les plus propres en matière d’émission de gaz à effet de serre (GES) et de politique climatique. Il est classé au quatrième rang mondial selon l’indice de performance du changement climatique, après la Suède, le Royaume-Uni et le Danemark.
Fidèle à sa stratégie qui vise l’atteinte d’un mix énergétique où les énergies renouvelables (ENR) contribueront à hauteur de 52% à horizon 2030, le Maroc se lance dans l’utilisation de l’hydrogène comme source d’énergie propre.
Il envisage l’utilisation de la technologie basée sur l’électrolyse et qui utilise l’énergie propre (solaire et éolien) pour séparer les molécules d’eau en deux, oxygène et hydrogène et ce, sans émission de CO2.
C’est ainsi que que le gouvernement marocain, via le ministère de l’Energie, des mines et de l’Environnement (MEME), a signé un accord avec l’Agence internationale des énergies renouvelables (Irena). Cet accord a pour objectif de renforcer la coopération pour développer les ENR et accélérer la transition énergétique.
Un focus a été mis sur la mise en œuvre du programme “Power-to-Gaz”qui se base sur la technique de l’hydrogène vert. Le Maroc ambitionne de devenir un acteur important dans ce domaine en tant que producteur et exportateur de cette énergie.
Francesco La Camera, directeur général de l’Irena, a déclaré à l’occasion de la signature de cet accord que «Le Royaume du Maroc a fait preuve d’un grand leadership.
Il a fait cela en faisant progresser le déploiement des ENR pour répondre à la demande énergétique croissante tout en créant de nouvelles opportunités industrielles à travers le pays ».
Et d’ajouter « Il est naturel que ce leadership s’étende à la poursuite de l’hydrogène vert, qui peut jouer un rôle essentiel dans les ambitions mondiales de décarbonations ».
Aziz Rabbah, ministre de l’Energie, des Mines et de l’Environnement, est revenu sur les engagements du Maroc : « Nous continuerons à promouvoir et à encourager l’adoption des ENR dans le contexte du changement climatique et leur développement au niveau régional et international ».
Se référant aux données de l’Irena à fin 2020, le Maroc dispose déjà d’une capacité installée d’énergie renouvelable totalisant 3.5 GW. La contribution future de l’hydrogène vert devra contribuer à supplanter la production d’électricité à base de charbon.