Le Président de la Guinée-Bissau exprime sa grande reconnaissance au Maroc et au Roi Mohammed VI
LE PRÉSIDENT DE LA GUINÉE-BISSAU EXPRIME SA GRANDE RECONNAISSANCE AU MAROC ET AU ROI MOHAMMED VI
Le président de la République de Guinée-Bissau, M. Umaro Sissoko Embalo, a exprimé sa grande reconnaissance au Maroc et à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, mettant en avant la solidité des relations existant entre les deux pays frères.
Le président Embalo a fait part de sa grande reconnaissance, mardi, lors de l’audience accordée à la délégation marocaine ayant participé à la rencontre scientifique sur la coexistence pacifique organisée, samedi et dimanche à Bissau, par la section de la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains.
M. Umaro Sissoko Embalo a rappelé la visite effectuée en 2015 par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al-Mouminine, que Dieu L’assiste, en Guinée-Bissau, où un accueil chaleureux, tant sur le plan officiel que populaire, a été réservé au Souverain.
Il a également exprimé sa joie de recevoir la délégation marocaine participant aux travaux de ce colloque, soulignant que la culture de tolérance et les valeurs de coexistence font partie intégrante de notre religion et que la consolidation de telles valeurs est la responsabilité de nous tous.
Pour sa part, la délégation marocaine a exprimé ses remerciements et sa gratitude au Président Umaro Sissoko Embalo pour l’accueil qu’il leur a réservé, notant que cette audience témoigne de la place que le Président de la République réserve au peuple marocain.
L’audience s’est déroulée en présence de plusieurs conseillers du Président de la République, ainsi que d’une délégation de la section de la Fondation en Guinée-Bissau, conduite par le président de la section, M. Mamadu Baldé.
Il convient de rappeler qu’une délégation de la Fondation mère composée d’universitaires et d’experts a participé aux travaux de cette rencontre scientifique organisée les 4 et 5 juin par la section de la Fondation eu Guinée-Bissau autour du thème «La coexistence pacifique : La voie d’une entente culturelle et sociale entre les religions».
Le rapport final qui a été publié à l’issue des travaux de cette rencontre a appelé à redoubler d’efforts pour l’organisation d’autres rencontres similaires pour bénéficier davantage de débats qui permettront aux gens de mieux connaitre leur religion, loin de la culture de la haine et de la violence.
Le rapport final qui a été publié à l’issue des travaux de cette rencontre a également mis l’accent sur l’importance de la diffusion des valeurs de tolérance et du renforcement de la culture de coexistence en vue de préserver la cohabitation et la communion au sein des sociétés africaines et de réaliser leur prospérité.