Maroc: une prof française virée pour avoir promu l’homosexualité
MAROC: UNE ENSEIGNANTE FRANÇAISE VIRÉE POUR AVOIR PROMU L’HOMOSEXUALITÉ
Une enseignante de l’école Honoré de Balzac à Kénitra a été renvoyée de son poste pour avoir présenté des informations sur l’homosexualité ainsi que des propos insultants sur les personnalités et les symboles de l’islam en classe.
L’enseignante en question a été accusée d’avoir présenté des informations sur l’homosexualité et des propos insultants sur l’islam à ses élèves.
Suite à cette accusation, l’administration de l’école Honoré de Balzac à Kénitra a mené une enquête et a finalement décidé de la renvoyer de son poste. Les parents des élèves ont été informés de cette décision.
Dans un communiqué, Abderrahim Jamai, l’avocat des parents, a souligné que l’administration de l’école avait pris cette décision pour protéger les élèves et préserver la réputation de l’école.
Selon lui, l’école doit rester un espace de sécurité, de tolérance et de vivabilité pour les élèves. Le ministère public près le tribunal de première instance de Kénitra a également ouvert une enquête judiciaire sur cette affaire afin de déterminer si des charges criminelles peuvent être portées contre l’enseignante.
Dans son communiqué, l’avocat a souligné l’importance de la sensibilisation de l’opinion publique, de l’engagement des autorités et des institutions, ainsi que des médias encadrés par une conscience professionnelle et une éthique respectable pour protéger les enfants contre tout abus et exploitation.
En fin de compte, cette affaire met en lumière l’importance de l’éducation et de l’environnement éducatif pour les enfants.
Il est essentiel de créer un environnement éducatif sûr, tolérant et respectueux pour les élèves, tout en s’assurant que les enseignants fournissent des informations précises et appropriées sur des sujets délicats.
« […] J’informe l’opinion publique, la presse et les médias écrits et électroniques, que l’administration de l’école a informé les familles des élèves de sa décision de renvoyer l’enseignante concernée de l’école et de mettre fin à ses fonctions, après que les responsables de l’établissement Balzac ont été convaincus de la gravité de l’affaire et de ses dangers et pour les élèves et pour la réputation de l’école elle-même, qui doit rester toujours un espace de sécurité de tolérance et de vivabilité.
[…] La responsabilité de protéger les enfants contre tous les abus et toutes exploitations reste tributaire de la sensibilisation de l’opinion publique, de l’engagement des autorités et des institutions à tous les niveaux, au premier rang les établissements scolaires et éducatifs et les rôles pionniers qu’ils jouent, ainsi des tâches confiées à la presse et aux médias, encadrés par la conscience professionnelle et l’éthique d’une profession noble et respectable » a indiqué Abderrahim Jamai, l’avocat des parents dans un communiqué.