Belgique: la princesse Maria Laura va se marier avec un franco-marocain
Belgique: la princesse Maria Laura va se marier avec un franco-marocain
La princesse Maria Laura de Belgique, deuxième enfant de la princesse Astrid et du prince Lorenz, s’est fiancée à un Franco-marocain qui a aussi la nationalité britannique.
Le mariage est prévu au second semestre de 2022.
Dans un communiqué, le palais royal a annoncé que leurs altesses royales la princesse Astrid et le prince Lorenz ont la grande joie d’annoncer les fiançailles de son altesse royale la princesse Maria Laura avec Monsieur William Isvy.
Les deux tourtereaux convoleront en justes noces le second semestre de 2022. Ils se sont rencontrés en 2015 à Londres.
Né à Paris d’une mère britannique et d’un père franco-marocain, William Isvy est un banquier d’affaires britannique.
Il a passé la majeure partie de son enfance à Londres. Il a obtenu son baccalauréat au lycée français Charles de Gaulle.
Ensuite, il fait ses études supérieures à l’Université McGill à Montréal où il a décroché une licence financière.
Après ses études, il a travaillé dans les fusions et acquisitions pour une banque d’investissement américaine et travaille maintenant dans la gestion d’actifs.
Il commence sa carrière professionnelle à Londres au sein du département fusions-acquisitions d’une grande banque d’investissement américaine et travaille maintenant dans la gestion d’actifs.
La princesse Maria Laura de Belgique est la fille de la princesse Astrid — fille aînée du roi Albert II — et de son époux le prince Lorenz, chef de la maison d’Autriche-Este.
La petite Maria a grandi à Bazel, en Suisse, jusqu’à l’âge de cinq ans où son père travaillait pour une banque internationale.
Elle a étudié au Collège St. John Berchmans à Bruxelles et. John’s International School à Waterloo.
À Paris, la princesse Maria Laura a étudié le chinois et les relations internationales à l’Institut des langues orientales.
En 2012, elle s’est envolée pour Shanghai, après avoir effectué un stage à New York. Elle y travaille dans le secteur privé.
De retour en Europe deux ans plus tard, elle fait de la recherche dans un « think tank » à Londres, y effectue un master en Affaires internationales et diplomatie à la « School of Oriental and African Studies » (SOAS).
Après trois années à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), elle rejoint en 2020 une importante fondation philanthropique.
Elle y travaille aujourd’hui comme analyste dans le secteur du changement climatique.