vendredi, novembre 22, 2024
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Omar Radi : la DGAPR répond à Reporters sans frontières

OMAR RADI : LA DÉLÉGATION GÉNÉRALE À L’ADMINISTRATION PÉNITENTIAIRE ET À LA RÉINSERTION RÉPOND À REPORTERS SANS FRONTIÈRES

Suite aux explications fournies par la prison de Tiflet II concernant les affirmations du père du détenu Omar Radi, Reporters sans frontières (RSF) a décidé de répéter les mêmes fausses informations sur son site officiel. Voici la réponse de la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) à ces accusations.




Malgré les clarifications fournies par la prison locale de Tiflet II concernant les allégations du père d’Omar Radi, Reporters sans frontières (RSF) persiste à diffuser les mêmes mensonges sur son site officiel.

La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a réagi à cette situation.

Le 13 juin, la direction de la prison de Tiflet II a répondu aux allégations formulées par le père d’Omar Radi, qui prétendait que son fils, en tant que détenu de droit commun, était privé de son droit d’écrire et de lire, et qu’il était placé en isolement cellulaire.

Ces allégations ont été réfutées par la direction de la prison à travers un communiqué officiel. Cependant, Reporters sans frontières a choisi de relayer les mêmes mensonges sur son site internet.

En réponse à cela, la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion a publié une nouvelle déclaration le jeudi 15 juin.

La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion souligne que le fait de relayer les mêmes allégations démontre « la mauvaise foi de cette organisation et son animosité manifeste envers le Royaume, même lorsque l’affaire en question est de nature criminelle et n’a aucun lien avec la liberté de la presse que prétend défendre cette ONG ».




Elle met en évidence que « la crédibilité de cette organisation est entachée en raison de l’idéologie d’extrême droite de son fondateur et ancien président (Robert Ménard), de la nature de ses relations et des parties qui se cachent derrière son représentant en Afrique du Nord, ainsi que de sa forte hostilité envers le Maroc ».

La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion souligne que Reporters sans frontières n’a ni la légitimité ni la compétence nécessaire pour donner des leçons au Maroc en matière de droits de l’homme.

La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion réaffirme son engagement à remplir son rôle dans le strict respect de la loi, en traitant tous les détenus de manière équitable et en garantissant leur dignité.

Elle rappelle qu’elle est prête à communiquer avec l’opinion publique chaque fois que cela est nécessaire pour réfuter les allégations visant à ternir l’image du Maroc.

Malgré les campagnes diffamatoires ciblant des détenus spécifiques, la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion reste déterminée à assumer ses responsabilités en matière de gestion pénitentiaire conformément à la loi.